À 70 ans, Kim Basinger n'a rien perdu de sa classe : la preuve en 9 ...

Si Internet et les réseaux sociaux avaient existé à l’époque, nul doute que les mots « nuisette en soie blanche » auraient fait exploser tous les scores de recherches sur Google pour l’année 1986. À l’origine de l’engouement délirant pour ce vêtement tout simple : Kim Basinger, qui faisait sérieusement monter la température lors d’un mémorable striptease au son du You Can Leave Your Hat On de Joe Cocker dans une scène restée culte. Au sujet de Kim, on peut sortir les grands mots : elle est une authentique légende.

Kim Basinger dans 9 semaines ½.

Si vous faites partie de la Gen Z et que vous lisez ces lignes, une piqûre de rappel : bien avant Cinquante Nuances de Grey, les années 1980 avaient donné au monde 9 semaines 1/2, la romance érotico-esthétisante dont est extrait le striptease culte susmentionné, avec Kim Basinger et Mickey Rourke, les deux sex-symbols absolus de l’époque. Pour ceux qui ont vécu ces années-là, difficile de réaliser que l’actrice américaine fête aujourd’hui ses 70 ans. Soyons honnêtes, en quatre décennies, Kim n’a pas perdu une once de son charme et de son sens de l’élégance.

C’est précisément sur ce dernier aspect que nous souhaitons nous attarder : la star hollywoodienne n’a jamais cessé d’affirmer son goût pour la mode, en n’hésitant pas à naviguer entre les genres et à s’essayer à toutes sortes de styles, oscillant sans ciller entre féminité et androgynie, look BCBG et avant-garde, en restant toujours et avant tout elle-même.

Il y a un mot pour ça : ça s’appelle la modernité. Quoi d’autre ? Kim n’a jamais fait dans l’esbroufe, elle n’a jamais joué la carte de l’outrance ou du trop ouvertement sexy. Ce qui rend son style parfaitement intemporel ? Hier comme aujourd’hui, à 70 ans, c’est l’attitude qui la distingue, pas les vêtements. Pour son anniversaire, nous célébrons le glamour de Kim Basinger à travers quelques looks qui ont tracé les contours de son style si reconnaissable. Combien de looks ? Neuf et demi, bien sûr.

Kim Basinger, en 1998.

Evan Agostini/Getty Images