DIRECT. Présidence de l'Assemblée nationale: André Chassaigne ...
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21:03
Laure Lavalette pointe la responsabilité des Républicains
La députée du Rassemblement national, Laure Lavalette, a pointé la responsabilité des élus des Républicains sur son compte X:
"Les LR sauvent Yaël Braun-Pivet plutôt que de respecter les électeurs avec Sébastien Chenu à la tête de l’Assemblée nationale."
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21:02
"Les magouilles entre la Macronie et la droite l'ont emporté", déplore François Ruffin
"Yaël Braun-Pivet réélue au perchoir, c'est une défaite pour notre Assemblée. Et pour la démocratie. Le Palais Bourbon reste enchaîné à l'Elysée", a écrit François Ruffin sur son compte X.
"Les magouilles entre la Macronie et la droite l'ont emporté. Emmanuel Macron n'a rien appris, agit comme si les urnes n'avaient pas parlé, préfère le bidouillage à la clarté", peut-on également lire.
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21:00
Manuel Bompard n'accepte pas "la négation du vote des Français"
Coordinateur de la France Insoumise et député de Marseille, Manuel Bompard a réagi directement après la réélection de Yaël Braun-Pivet:
"Nous n’acceptons pas la négation du vote des français par des combinaisons politiciennes. Le président de la République doit y mettre un terme et appeler le Nouveau Front Populaire à constituer un gouvernement", a-t-il écrit sur son compte X.
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20:57
Fabien Roussel dénonce "un coup de force contre la démocratie"
Le secrétaire national du Parti communiste français, Fabien Roussel, a dénoncé sur son compte X "un coup de force contre la démocratie".
"Honte à tous ces députés qui ont choisi une alliance de fortune, celle du camp présidentiel avec les droites", a-t-il ajouté.
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20:49
"Nous devons coopérer", annonce déjà Yaël Braun-Pivet aux députés
"Nous devons apporter de nouvelles solutions. Avec de nouvelles méthodes. Cette Assemblée nationale est plus que jamais représentative des Français, mais elle est aussi plus divisée que jamais. Nous n'avons pas le choix, nous devons nous entendre, nous devons coopérer, nous devons être capables de rechercher des compromis, nous devons être capables de nous écouter et d'avancer", a également ajouté Yaël Braun-Pivet.
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20:49
Yaël Braun-Pivet: "Nous avons une immense responsabilité"
Chahutée, Yaël Braun-Pivet a tenu son premier discours au perchoir après sa réélection à la présidence de l'Assemblée nationale "avec une immense émotion".
"Les dernières semaines ont été extrêmement tendues. Nous avons pu voir un pays inquiet, un pays fracturé. Ce que l'on peut se dire, c'est que nous avons aujourd'hui une immense responsabilité", a-t-elle déclaré.
"Si nos compatriotes sont allés si nombreux aux urnes, c'est qu'ils ont compris que la démocratie était un bien précieux, qu'il y avait des enjeux majeurs, et que les hommes et femmes politiques que nous sommes peuvent avoir un impact sur leur vie."
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20:40
Yaël Braun-Pivet réélue présidente de l’Assemblée nationale
La présidente sortante de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet a été réélue au terme du troisième tour du scrutin. Elle est arrivée en tête avec 220 voix devant André Chassaigne du NFP (207 voix) et Sébastien Chenu du RN (141 voix).
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20:02
Le résultat du dernier tour attendu vers 20h40
Les votes pour le troisième tour de l'élection à la présidence de l'Assemblée nationale sont terminés.
Les résultats seront connus aux alentours de 20h40.
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19:22
Le troisième tour a débuté
Les députés ont entamé le troisième tour du scrutin de l'élection à la présidence de l'Assemblée nationale.
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19:10
Charles de Courson retire sa candidature, Sébastien Chenu se maintient
Arrivé en quatrième position du second tour, avec seulement 12 voix, le candidat du groupe Liot Charles de Courson a retiré sa candidature.
Il y a trois candidats au troisième tour du scrutin: Yaël Braun-Pivet, André Chassaigne et Sébastien Chenu.
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19:06
Yaël Braun-Pivet devance André Chassaigne au deuxième tour
La présidente sortante Yaël Braun-Pivet est arrivée en tête du deuxième tour de l’élection à la présidence de l’Assemblée nationale avec 210 voix. Elle devance André Chassaigne du NFP (202 voix), Sébastien Chenu du RN (143 voix) et Charles de Courson du groupe Liot (12 voix).
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18:04
Le vote du deuxième tour est terminé, les résultats attendus vers 19 heures
Tous les députés ont voté au deuxième tour de l'élection à la présidence de l'Assemblé nationale.
"Les résultats du deuxième tour du scrutin seront proclamés vers 19 heures", a déclaré au perchoir José Gonzales, doyen de l'Assemblée.
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17:44
Pourquoi un deuxième tour a-t-il lieu ?
Aucun candidat n'a obtenu de majorité absolue (289 votes) à l'issue de ce premier tour. Un deuxième tour est donc organisé. Si à l'issue de ce dernier, ce seuil n'est toujours pas franchi, un troisième tour aura lieu et c'est celui qui obtiendra cette fois la majorité relative qui siègera au perchoir.
A noter qu'en cas d'égalité entre deux candidats, c'est celui le plus âgé qui sera élu. André Chassaigne, arrivé en tête du premier tour avec 200 voix, est âgé de 74 ans et l'emporterait s'il était impliqué dans ce cas de figure.
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17:36
Charles de Courson maintient sa candidature
Charles de Courson, membre du groupe Liot, maintient sa candidature. Il est arrivé en dernière position du scrutin avec 18 voix.
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17:31
Eric Ciotti dénonce les députés du NFP qui refusent de serrer la main à des députés RN
Le président contesté des Républicains a dénoncé sur X le comportement de certains députés du NFP refusant de serrer la main à des députés RN, comme François Piquemal qui s'est amusé à faire un "pierre-feuille-ciseau".
"Le nouveau Front populaire révèle son vrai visage antidémocratique. Ses députés refusent de saluer républicainement d'autres élus n'appartenant pas à leur groupe. Une attitude qui nuit gravement à notre démocratie et à l'esprit parlementaire", écrit-il.
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17:16
Philippe Juvin (LR) et Naïma Moutchou (Horizons) retirent leur candidature
À l'issue du premier tour de l'élection à la présidence de l'Assemblée nationale, deux candidats ont retiré leur candidature. Il s'agit de Philippe Juvin (LR) et Naïma Moutchou (Horizons).
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17:12
André Chassaigne en tête après le premier tour
Présidence de l'Assemblée: André Chassaigne (NFP) en tête du premier tour de l'élection à la présidence de l'Assemblée nationale, avec 200 voix. Derrière, Sébstien Chenu (RN) obtient 142 voix, Yaël Braun-Pivet 124, Philippe Juvin (LR) 48, Naïma Moutchou (Horizons) 38 et Charles de Courson (Liot) 18.
Les députés vont procéder au second tour de l'élection.
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16:45
LFI toujours contre le nom de Laurence Tubiana, malgré ses engagements
Visiblement, la candidature de Laurence Tubiana au poste de Première minstre ne fait toujours pas l'unanimité au sein de LFI, en témoigne ce retweet de Manuel Bompard de Stefano Palombarini ⤵️
"Au nom de quoi Tubiana et ceux qui la veulent 1ère ministre modifient le programme NFP ?", écrit-il.
Ce post intervient peu de temps après la confirmation de l'intéressée, dans une interview donnée à l'AFP, de sa candidature au poste de Première ministre. Celle-ci a visiblement voulu donner des gages à LFI, annoncant notamment vouloir "abroger" ou "geler" la réforme des retraites ainsi que la loi immmigration, arguant que "l'urgence sociale et écologique" nécessite une "politique à gauche".
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16:39
Le résultat du premier tour sera connu à 17h
Les 577 ont voté, à tour de rôle, pour élire le président de l'Assemblée nationale. Le résultat sera connu à 17h.
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16:38
Un député insoumis fait un "pierre feuille ciseau" pour éviter de serrer la main à un député RN
François Piquemal, député insoumis de Toulouse, a partagé sur son compte les images où on peut le voir faire un "pierre feuille ciseau" afin de ne pas serrer la main au député RN Flavien Termet, benjamin de l'hémicycle et assesseur du vote de l'élection du président de l'Assemblée nationale
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16:11
Olivier Faure a voté
Le premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure a voté.
![Les députés votent pour élire le président de l'Assemblée nationale, le 18 juillet 2024. Les députés votent pour élire le président de l'Assemblée nationale, le 18 juillet 2024.](/thumb/phpThumb.php?src=https%3A%2F%2Frmc.bfmtv.com%2Fassets%2Fv4%2Fimages%2Fplaceholder_16x9.a8260d8a8de26ab4b3b171a3a1e1e333.jpg&w=728&hash=0c0f5c743a73cd23ef5ecb60ef1d4992)
![Les députés votent pour élire le président de l'Assemblée nationale, le 18 juillet 2024. Les députés votent pour élire le président de l'Assemblée nationale, le 18 juillet 2024.](/thumb/phpThumb.php?src=https%3A%2F%2Fimages.bfmtv.com%2FIdNEwuUqW0rZuNHAy1Hy3T9itoU%3D%2F0x0%3A2048x1365%2F600x0%2Fimages%2FLes-deputes-votent-pour-elire-le-president-de-l-Assemblee-nationale-le-18-juillet-2024-1905953.jpg&w=728&hash=07c431fbc30aa781ff477dd6774429c0)
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15:54
Gabriel Attal vient de voter
Image totalement inédite: celui qui est à la fois Premier ministre (démissionnaire), député et président de son groupe, vient de voter.
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15:46
Antoine Léaument s'explique
"Je ne serre pas la main aux députés du Rassemblement national en dehors de l'hémicycle, donc je ne vois pas pourquoi je le ferai, je ne vais pas faire semblant", explique l'Insoumis Antoine Léaument au micro de BFMTV. "Je n'ai pas apprécié sa référence à l'Algérie française", ajoute le député LFI.
José Gonzalez avait fait polémique en 2022 pour ses propos, lorsqu'il avait présidé la première séance de l'Assemblée. Le député RN y a fait de nouveau référence tout à l'heure, lors de sa prise de parole, en se décrivant comme un "Français né sous le soleil d'un autre continent qui a appris, par son déchirant déracinement, le sens du mot 'patrie'".
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15:36
Louis Boyard et Antoine Léaument ne serrent pas la main au benjamin de l'Assemblée
Les députés LFI Louis Boyard et Antoine Léaument ont refusé de serrer la main au député benjamin de l'Assemblée nationale, Flavien Termet (22 ans), élu avec le RN et chargé de veiller au bon déroulement des votes.
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15:26
François Hollande a voté
L'ancien président de la République vient de déposer son bulletin dans l'urne. Les 577 députés doivent voter.
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15:25
Six candidats à la présidence de l'hémicycle
Pour rappel, il y a six candidats en lice à la présidence de l'Assemblée: la sortante Yaël Braun-Pivet (Ensemble pour la République, ex-Renaissance), Naïma Moutchou (Horizons), André Chassaigne (Nouveau Front populaire), Charles de Courson (Liot), Sébastien Chenu (Rassemblement national) et Philippe Juvin (Les Républicains).
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15:15
Les députés vont voter pour leur président
Les députés de cette XVIIe législature vont voter pour élire le président de l'Assemblée nationale. Un scrution à bulletin secret et qui peut aller jusqu'à trois tours.
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15:13
Sébastien Chenu à côté de Sophia Chikirou
Les députés siègent par ordre alphabétique et non par couleur politique, en attendant la constitution officielle de chaque groupe. Sébastien Chenu (RN) se trouve à côté de Sophia Chikirou (LFI).
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15:05
Les élus de la nouvelle législature dans l'hémicycle
Les députés de la XVIIe législature ont fait leur entrée dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale.
Le doyen d'âge, le RN José Gonzalez (81 ans), s'exprime en ouverture de la séance. Il parle d'un "privilège" et dit avoir composé son bureau provisoire avec les six députés les plus jeunes.
![Le doyen de l'Assemblée nationale, le député RN José Gonzalez, prononce un discours avant l'élection du président, le 18 juillet 2024 à l'Assemblée à Paris Le doyen de l'Assemblée nationale, le député RN José Gonzalez, prononce un discours avant l'élection du président, le 18 juillet 2024 à l'Assemblée à Paris](/thumb/phpThumb.php?src=https%3A%2F%2Frmc.bfmtv.com%2Fassets%2Fv4%2Fimages%2Fplaceholder_16x9.a8260d8a8de26ab4b3b171a3a1e1e333.jpg&w=728&hash=0c0f5c743a73cd23ef5ecb60ef1d4992)
![Le doyen de l'Assemblée nationale, le député RN José Gonzalez, prononce un discours avant l'élection du président, le 18 juillet 2024 à l'Assemblée à Paris Le doyen de l'Assemblée nationale, le député RN José Gonzalez, prononce un discours avant l'élection du président, le 18 juillet 2024 à l'Assemblée à Paris](/thumb/phpThumb.php?src=https%3A%2F%2Fimages.bfmtv.com%2FqfTxVQywFcqpiSo0f2olY2BoGXI%3D%2F0x0%3A768x512%2F600x0%2Fimages%2FLe-doyen-de-l-Assemblee-nationale-le-depute-RN-Jose-Gonzalez-prononce-un-discours-avant-l-election-du-president-le-18-juillet-2024-a-l-Assemblee-a-Paris-1905942.jpg&w=728&hash=4913adbe812e03e16a68ffbed8c7c982)
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14:26
Laurence Tubiana s'engage à "abroger" ou "geler" la réforme des retraites si elle arrive à Matignon
Cette "politique de gauche" devra rétablir la "justice fiscale", assurer "la relance du dialogue social sur les salaires" et remettre à plat la réforme des retraites, indique Laurence Tubiana à l'AFP.
"Il faut abroger la réforme (des retraites), la geler, tout ce qu'on veut, mais on ne l'applique pas", affirme l'économiste et diplomate du climat, qui souhaite aussi abroger la loi immigration, en cas de nomination à Matignon.
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14:25
"L'urgence sociale" exige "une politique de gauche", dit Laurence Tubiana
Pour Laurence Tubiana, la situation exige "une politique de gauche". "Le Nouveau Front populaire n'a pas gagné la majorité absolue" mais "il a obtenu un succès qui répond à l'urgence sociale et écologique" en France, déclare Laurence Tubiana à l'AFP.
"C'est donc une politique de gauche qu'il faut faire."
L'économiste et diplomate veut aller au gouvernement pour "arracher des mesures de gauche"
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14:24
"C'est le moment de l'engagement": Laurence Tubiana se dit prête à être Première ministre
Laurence Tubiana est partante pour Matignon. L'économiste et diplomate du climat, proposée par les socialistes, les communistes et les écologistes pour être à la tête d'un potentiel gouvernement du Nouveau Front populaire, se dit prête à devenir Première ministre, dans un entretien accordé à l'Agence France-Presse.
"Je ne demande rien, mais c'est le moment de l'engagement et cela me correspond", indique l'architecte de l'accord de Paris, âgée de 73 ans.
"Quand il y a une crise politique, il faut y répondre. Il y a besoin d'une personne de gauche, si cela doit être moi, je le fais", ajoute cette universitaire, dont le nom ne séduit pas les Insoumis - qui la trouvent trop modérée.
![L'universitaire Laurence Tubiana, lors d'une interview pendant la COP27 à Charm el-Cheikh le 6 novembre 2022 L'universitaire Laurence Tubiana, lors d'une interview pendant la COP27 à Charm el-Cheikh le 6 novembre 2022](/thumb/phpThumb.php?src=https%3A%2F%2Frmc.bfmtv.com%2Fassets%2Fv4%2Fimages%2Fplaceholder_16x9.a8260d8a8de26ab4b3b171a3a1e1e333.jpg&w=728&hash=0c0f5c743a73cd23ef5ecb60ef1d4992)
![L'universitaire Laurence Tubiana, lors d'une interview pendant la COP27 à Charm el-Cheikh le 6 novembre 2022 L'universitaire Laurence Tubiana, lors d'une interview pendant la COP27 à Charm el-Cheikh le 6 novembre 2022](/thumb/phpThumb.php?src=https%3A%2F%2Fimages.bfmtv.com%2FEa4Ec9teXpE-jMIIiGHXP512Y-k%3D%2F0x0%3A768x512%2F600x0%2Fimages%2FL-universitaire-Laurence-Tubiana-lors-d-une-interview-pendant-la-COP27-a-Charm-el-Cheikh-le-6-novembre-2022-1904397.jpg&w=728&hash=eaed4b8458b5b090c8d1822e7379dd65)
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14:13
Marine Le Pen siégera à côté… d'Antoine Léaument
Les députés siègeront par ordre alphabétique et non par couleur politique, en attendant la constitution officielle de chaque groupe. Marine Le Pen se retrouvera ainsi à côté de l'Insoumis Antoine Léaument, robespierriste revendiqué.
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14:04
Une prise de parole du député de plus âgé
Avant ces votes, cette première séance va s'ouvrir par une intervention du doyen d'âge, le RN José Gonzalez (81 ans). Député de la 10e circoncription des Bouches-du-Rhône, il avait créé une polémique il y a deux ans avec ses propos sur l'Algérie française.
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13:30
Les postes clés de l'Assemblée mis en jeu demain
Le coup d'envoi de la 17e législature va-t-il permettre d'y voir plus clair? Après le perchoir cet après-midi, les postes stratégiques de l'Assemblée seront en jeu vendredi (vice-présidents, questeurs...) puis les présidences de commission samedi, dont celle de la très convoitée commission des Finances, attribuée à un groupe d'opposition.
Ces derniers jours, le NFP est revenu à la charge pour appeler à priver le RN de toutes ces fonctions clés. Le groupe de Marine Le Pen, qui disposait jusqu'ici de deux vice-présidences, crie déjà au déni de démocratie. Les lepénistes sont passés de 88 députés à plus de 120 après les législatives, sans compter la quinzaine d'alliés autour d'Éric Ciotti. Et ils espèrent arracher un accord demain matin avec d'autres groupes, en vue d'une répartition "équitable" des postes au Palais-Bourbon.
Si le groupe présidé par Gabriel Attal a approuvé une consigne de vote consistant à ne voter ni pour un candidat du RN, ni pour un LFI, le MoDem et Horizons sont favorables à une répartition des postes proportionnelle au poids de chaque groupe. Position également défendue par Yaël Braun-Pivet lors d'une réunion à l'Élysée vendredi dernier. Mais la candidate n'est pas maîtresse des voix de son groupe et c'est Gabriel Attal qui participera aux négociations demain.
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13:20
Les macronistes vont-ils doubler la gauche?
Avec le soutien de la droite, le camp macroniste pourrait doubler la gauche dans la course au perchoir. Selon une source macroniste à l'AFP, le Nouveau Front populaire fait face à un "tout sauf la gauche", le camp présidentiel, la droite et le Rassemblement national n'étant pas prêt à lui concéder la victoire qui serait le signe de son éventuelle capacité à gouverner.
Car au-delà de la présidence de l'Assemblée, c'est l'ensemble du paysage politique qui peine à se décanter dix jours après les législatives. Le NFP est arrivé en tête, mais sans majorité claire, et s'est montré jusqu'ici incapable de proposer un candidat commun pour Matignon, sur fond de désaccord entre insoumis et socialistes.
Le camp présidentiel est lui à la manœuvre pour tenter de composer une majorité alternative au moins avec la droite, pendant que le RN dénonce un "bourbier" parlementaire et assure qu'il finira bien par arriver au pouvoir.
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12:50
Qui pour se hisser au perchoir?
Adoubée par son groupe macroniste et soutenue par le MoDem, la présidente sortante Yaël Braun-Pivet rêve de rempiler au perchoir et met en avant son bilan après deux ans à la tête de l'institution. Mais elle est contestée jusque dans son propre camp par la candidature concurrente de la députée Horizons Naïma Moutchou.
Et elle aura fort à faire face au communiste André Chassaigne, candidat commun de la coalition de gauche, ou au centriste Charles de Courson (Liot). Les deux ont promis de se maintenir jusqu'au troisième tour, même si l'entourage de député Liot tablait cette semaine sur un report des voix de la gauche sur ce dernier pour barrer la route à la macronie.
Lui aussi en lice, le RN Sébastien Chenu. Des rumeurs ce matin évoquaient son possible retrait dès le deuxième tour de l'élection, au profit de Yaël Braun-Pivet.
Hésitante hier soir, la Droite républicaine, nouveau nom du groupe LR, a finalement désigné candidat Philippe Juvin plutôt qu'Annie Genevard. Signe probable d'une entente avec la macronie, alors que le député avait noué un accord avec Gabriel Attal dans les Hauts-de-Seine pour les législatives. En échange de son soutien à Yaël Braun-Pivet, la droite souhaiterait une place à la questure, la présidence de la commission des Finances et une vice-présidence, selon des sources concordantes citées par l'AFP.
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12:47
Quelle configuration?
À partir de 15h, trois tours seront sans doute nécessaires pour départager les candidats, tant les inconnues sont nombreuses dans cette Assemblée fracturée en trois blocs (Nouveau Front populaire, camp présidentiel et Rassemblement national) et où la droite et les indépendants de Liot pourraient jouer les arbitres.
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12:45
Suspense à tous les étages pour la présidence de l'Assemblée
Les nouveaux députés se réunissent donc cet après-midi pour la première fois afin d'élire le président de l'Assemblée nationale. Un vote à l'issue incertaine dans un hémicycle profondément fragmenté, où pourrait se dessiner une ébauche de coalition gouvernementale.
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12:24
Attaqué, François Hollande répond à Sophia Chikirou
La députée LFI Sophia Chikirou avait comparé le hollandisme aux "punaises de lit". L'ancien président de la République a répondu hier soir devant ses collègues parlementaires, rapporte L'Opinion.
"Je connais bien Sophia Chikirou. Je l'ai exclue du PS en 2007 car elle avait appelé à voter Nicolas Sarkozy", aurait taclé François Hollande, selon le quotidien.
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12:14
"Je choisis ma liberté", affirme l'ex-LR Aurélien Pradié
Après avoir claqué la porte du parti Les Républicains, Aurélien Pradié a justifié sa volonté de rester député 'non-inscrit' à l'Assemblée nationale sur France 2 ce matin. "Moi, je choisis ma liberté", a-t-il avancé.
Sans parti, moins de temps de parole, moins de moyens... "Mais ce n'est pas grave, parce que ma parole sera plus forte. Et puis les groupes politiques d'aujourd'hui ne seront pas ceux de demain", a souligné le député du Lot.
Aurélien Pradié veut parier qu'"il y aura de bonnes nouvelles dans les temps qui viennent, parce que ceux qui paraissent un peu plus audacieux que les autres seront peut-être ceux qui participeront le mieux à la reconstruction du pays".
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11:24
"La gauche a un drôle de rapport à la démocratie", tacle Sébastien Chenu sur RMC
"Nous sommes le premier groupe (hors alliances, ndlr) à l'Assemblée nationale, celui qui représente le plus grand nombre de voix d'électeurs", assure le député RN Sébastien Chenu dans Les Grandes Gueules sur RMC et RMC Story.
"La gauche a un drôle de rapport à la démocratie", tacle le vice-président sortant de l'Assemblée, alors que le NFP veut écarter le parti d'extrême droite des postes à responsabilités de l'institution.
"Les députés ont tous été élus, et à la fin tous les députés se valent: un député RN vaut un député communiste, qui vaut un député LFI, qui vaut un LR... On est tous les mêmes, c'est le fondement même de cette démocratie parlementaire", poursuit-il.
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10:27
Le NFP fustige les "alliances" de la macronie et redoute un "hold-up"
Les responsables du Nouveau Front populaire accusent le camp présidentiel de négocier des "alliances" avec la droite voire l'extrême droite en vue d'obtenir la présidence de l'Assemblée nationale ce jeudi. "La logique politique voudrait que ce soit quelqu'un du NFP qui l'emporte", a dit sur RMC-BFMTV le socialiste Olivier Faure. Avec plus de 190 députés, le NFP est en effet le premier bloc de l'hémicycle et il s'est accordé sur une candidature unique pour le perchoir, celle du communiste André Chassaigne.
Mais la présidente sortante de l'Assemblée, Yaël Braun-Pivet, du parti présidentiel, pourrait doubler la gauche en nombre de voix, notamment si elle parvient à rallier les suffrages de la droite lors du scrutin, moyennant par exemple un soutien macroniste à la droite pour d'autres postes à responsabilité au Palais-Bourbon. Des négociations en ce sens ont lieu depuis plusieurs jours. L'élue a balayé ces derniers jours les rumeurs qui l'accusent de mener des tractations avec le RN, dénonçant une "polémique nauséabonde".
"Le seul moyen pour que nous soyons battus, c'est qu'il y ait des formes de combines et d'alliances qui se fassent pour que tout continue comme avant. Ce n'est pas possible", s'est indignée l'insoumise Mathilde Panot sur LCI, pour qui "l'enjeu" à gauche sera de "déjouer ce coup de force antidémocratique d'Emmanuel Macron". "Vous pouvez avoir effectivement un rassemblement de gens qui, opportunément pour bloquer le Front populaire, se retrouvent. Mais sur quelle base, sur quels projets? Rien. Donc ce serait une forme de hold-up", a poursuivi Olivier Faure.
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10:07
À quelle mobilisation s'attendre aujourd'hui?
En ce jeudi de rentrée de l'Assemblée nationale, la CGT et plusieurs associations appellent à se mobiliser et à manifester, à Paris mais aussi un peu partout en France, pour mettre la pression sur les nouveaux députés et le gouvernement.
À quoi faut-il s'attendre? Le point dans notre article.
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9:49
"Nous ne voulons pas légitimer l'extrême droite dans notre Assemblée", dit Mathilde Panot
En revanche, LFI partage la position du Nouveau Front populaire, défendue par le chef du PS Olivier Faure un peu plus tôt sur RMC-BFMTV, sur le fait d'écarter le RN des postes clés de l'Assemblée nationale. "Nous ne voulons pas donner des postes à responsabilités, qui visent à légitimer l'extrême droite, dans notre Assemblée et dans notre hémicycle", explique Mathilde Panot sur LCI.
N'est-ce pas un déni de démocratie? "Non, car les députés du RN pourront tout à fait faire leur travail. Ils ont des députés (autour de 140, ndlr) qui les représentent. La démocratie est respectée sur ce point-là", répond la députée LFI.
Comme Olivier Faure, Mathilde Panot vante la possibilité d'André Chassaigne comme président de l'Assemblée, "une candidature qui peut rassembler beaucoup de voix et qui, j'y compte bien, peut même gagner".
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9:41
Mathilde Panot pas favorable à un vote pour désigner le candidat du NFP à Matignon
Plusieurs voix, y compris à gauche, se sont déjà faites entendre pour passer par le vote pour désigner la ou le possible Premier ministre du Nouveau Front populaire. Le dernier en date, le chef du Parti socialiste Olivier Faure sur RMC-BFMTV ce matin. Mais, pour le moment, LFI n'est pas pour cette méthode.
"Pour l'instant, nous ne sommes pas sur cette option", indique Mathilde Panot, cheffe de file des députés insoumis, ce matin sur LCI. "Le consensus est une chose intéressante", maintient-elle.
"Si nous commençons à faire un vote des députés ou de je ne sais qui, peut être des formations politiques, à ce moment là il faudra le faire pour le Premier ou la Première ministre, puis il faudra le faire sur le ministre de l'Intérieur, sur le ministre des Affaires étrangères..." justifie la députée LFI-NFP du Val-de-Marne.
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9:10
"Rien n'oblige" à "donner des responsabilités" au RN à l'Assemblée, selon Olivier Faure
Le Nouveau Front populaire veut continuer à faire barrage au Rassemblement national, cette fois en l'empêchant d'occuper les postes clés de l'institution de l'Assemblée nationale.
Tandis que Marine Le Pen dénonce une "négation de la démocratie" suite aux résultats de son parti aux législatives, Olivier Faure estime sur RMC-BFMTV que "rien n'oblige" à "donner des responsabilités" à l'extrême droite.
Le leader socialiste justifie: "Pourquoi participerions nous-même à leur notabilisation, à une forme de banalisation de l'extrême droite comme si elle était un parti républicain comme les autres?"
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9:02
Olivier Faure s'oppose à une coalition avec la droite et les macronistes
Le premier secrétaire du PS estime qu'une entente rassemblerant des députés socialistes et du camp présidentiel ou de LR serait une "coalition des contraires".
"Imaginez que je revienne dans ma circonscription. Les gens m'ont élu sur une base et ils me retrouveraient sur une autre base", explique Olivier Faure sur RMC-BFMTV, en illustrant: "Ils me diraient: 'vous vous êtes servis de nous, vous êtes exactement à l'endroit où on ne vous attendais pas'."
La question des mesures et du programme se poserait aussi, ajoute-t-il: "Est-ce que vous pensez que dans une coalition comme celle que le chef de l'État appelle de ses vœux on irait abroger la réforme des retraites?"
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8:55
"Curieux d'avoir des gens qui font semblant d'être extérieurs au débat", répond Olivier Faure à Marine Tondelier
Olivier Faure répond à Marine Tondelier. Hier, la secrétaire nationale des Ecologistes avait partagé sa "colère" sur France 2 puis sur RMC, en dénonçant "la guerre de leadership" entre insoumis et socialistes pour désigner un nom de potentiel Premier minsitre pour la gauche.
"Je trouve toujours curieux d’avoir des gens qui participent à ce débat et ensuite font comme s’ils en étaient extérieur. Moi je suis dans le débat, et je ne fais pas semblant de ne pas [y] participer", grince le premier secrétaire du Parti socialiste sur RMC-BFMTV ce matin.
"Je continue à parler avec les Insoumis. J'ai continué à parler avec les écologistes, avec les communistes. Le téléphone existe et les rencontres continuent. Et il n'y a jamais eu d'interruption" des négociations comme le prétend Marine Tondelier, ajoute-t-il en regrettant "le cinéma" que "chacun cherche à faire".
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8:51
"Je suis moi-même lassé", dit Olivier Faure
"On ne peut pas continuer à lasser les Français", ajoute Olivier Faure, en estimant que ce vote pourrait avoir lieu quand toutes les composantes du Nouveau Front populaire seront d'accord sur le principe.
"Je suis moi-même lassé par la durée que prend cette discussion et donc je souhaite que nous puissions maintenant trancher et arrêter de se cacher derrière son petit doigt. Et donc pour trancher, il faut un vote", plaide le leader du PS sur RMC-BFMTV.
"Quand on est élu député, c'est pour faire quoi dans la vie? C’est pour pouvoir justement être de ceux qui tranchent en lieu et place des Français."
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8:46
Olivier Faure appelle à un vote au sein du NFP pour proposer un nom de Premier ministre
Alors que le Nouveau Front populaire cherche toujours un nom à envoyer à Matignon, plusieurs voix appellent à un vote pour désigner la future ou le futur Premier ministre. Olivier Faure s'y joint.
"Quand on n'arrive pas à avancer, il y a un mode assez simple en démocratie pour départager des candidatures: c'est le vote", assure ce jeudi sur RMC-BFMTV le premier secrétaire du Parti socialiste.
"Il y a des candidatures qui ont été posées sur la table; il n'y en a plus aujourd'hui, à ma connaissance, que deux potentielles, celle d'Huguette Bello qui s'est retirée mais qui peut-être pourrait revenir et puis celle de Laurence Tubiana", selon le socialiste. "Eh bien, il y a deux candidatures, soumettons-les au vote."
>> Plus de détails ici
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8:42
Olivier Faure salue la candidature d'André Chassaigne sur RMC-BFMTV
Invité dans Face à Face sur RMC-BFMTV, le premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure loue les qualités d'André Chassaigne, candidat commun du Nouveau Front populaire pour la présidence de l'Assemblée nationale, prévue cet après-midi.
Le leader socialiste salue l'élu communiste de 74 ans, "une personnalité reconnue qui inspire du respect pour toutes et tous", même "au-delà de la gauche", et un "grand parlementaire".
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7:36
L'élection du président de l'Assemblée nationale, comment ça marche?
C'est le jour J à l'Assemblée Nationale pour l’élection clé du perchoir, le poste de présidente de l’Assemblée. On commence à connaître la grille de départ. Yaël Braun-Pivet elle-même, la présidente sortante, brigue sa réélection. Face à elle, Naïma Moutchou de Horizons, Philippe Juvin de LR, Sébastien Chenu pour le RN, Charles de Courson pour le petit groupe LIOT et André Chassaigne pour le NFP.
Le vote aura lieu ce jeudi après-midi à partir de 15h. Puis la répartition des autres postes à responsabilité aura lieu demain.
>> Notre article en intégralité - Présidence de l'Assemblée nationale: le mode d'emploi du scrutin
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6:26
"Ma candidature sera maintenue jusqu'au bout", affirme André Chassaigne
Le Nouveau Front populaire a réussi à s'entendre pour désigner un candidat commun pour l'élection de la présidence de l'Assemblée nationale qui aura lieu ce jeudi à partir de 15h. Ce sera donc le communiste André Chassaigne. Il sera notamment opposé à la présidente sortante, Yaël Braun-Pivet, du parti présidentiel.
Et hier, il a prévenu. Pour lui, pas question d'un quelconque désistement. "Nous allons devant l’Assemblée nationale avec la volonté de gagner. Ma candidature sera maintenue jusqu’au bout”, a-t-il appuyé.
>> Notre article en intégralité - Présidence de l'Assemblée: soulagement pour la gauche qui s'est entendue sur un candidat pour le perchoir
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6:06
Olivier Faure à 8h30 sur RMC
Le premier secrétaire du Parti socialiste est l'invité du Face à Face à 8h30 ce matin sur RMC-BFMTV.
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6:03
Sprint final pour la course au perchoir, la gauche s'accorde sur André Chassaigne
Le Nouveau Front populaire a enfin réussi à s'accorder hier sur un candidat pour briguer le perchoir de l'Assemblée nationale, en la personne du communiste André Chassaigne, tandis que les négociations pour choisir un nom pour Matignon piétinent toujours.
Après de longues tractations, les quatre groupes du Nouveau Front populaire, arrivé en tête des législatives anticipées, ont mis un terme provisoire à leurs divisions en désignant André Chassaigne, âgé de 74 ans et député depuis 22 ans, comme leur candidat commun pour la présidence de l'Assemblée.
>> Lire l'article ici
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6:01
Bonjour à toutes et à tous !
Bienvenue dans ce live consacré aux élections législatives et à la crise politique qui secoue la France.
>> Législatives - Toute l'actualité de mercredi à retrouver ici
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